Réduction de l’empreinte carbone des opérateurs de télécommunications.

Souvent montrés du doigt pour le caractère polluant de leur activité, les opérateurs mobiles et fournisseurs d’accès à Internet ont la pression depuis la COP21 et les accords de Paris en 2016. Ils redoublent donc d’initiatives pour polluer moins.

Renoncer à l’avion pour acheminer ses box (Free), des box qui consomment 30% d’énergie en moins à chaque nouveau modèle (BouyguesTelecom), le 1er smartphone garanti avec 20% de plastique recyclé (SFR), des data centers moins gourmands en électricité (Orange), et pour tous, recyclageet reconditionnement des téléphones.

Mais les utilisateurs aussi doivent contribuer !

Concernant par exemple les smartphones, dont la fabrication a un gros impact sur l’empreinte carbone du numérique, le plus écolo, c’est celui qu’on ne construit pas.

Tout ce qui consiste à allonger leur durée de vie, en les réparant, en prolongeant leur usage, c’est très bon pour la planète, puisque la construction des smartphones qui génère beaucoup de carbone, est massivement localisée en Asie, avec des usines alimentées par des industries fossiles.

Dans l’utilisation quotidienne, l’un des conseils les plus efficaces est de privilégier pour ses communications vocales la connexion à Internet en WiFi  plutôt que via son réseau mobile, le rendement énergétique est meilleur.

Selon Green IT, le numérique au sens large représente 3,8% des émissions de gaz à effet de serre. Et notre utilisation du numérique augmente de 40% par an. 

 

 


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